Relativité de la notion d'échec

Un résultat, deux visions.

Du coup se pose la question de l’échec.

Échec pour l’un, étape de progression pour l’autre.
Focus réducteur pour l’un, vision globale ouverte pour l’autre.

Dans cette vidéo, une belle réponse de Giannis Antetokounmpo, joueur grec professionnel de basket-ball, à un journaliste qui stigmatise, par sa question, le dernier résultat sportif de celui-ci.

Du coup se pose la question de l’échec.

De mon point de vue, la notion d’échec n’existe pas : échec de quoi ? par rapport à quoi ? ou par rapport à qui ?

Il s’agit plutôt d’un sentiment, d’un jugement de soi sur soi, d’une frustration, qui engendrent un ressenti de colère vis-à-vis de soi (parfois reportée sur autrui).

La notion d’échec est à ranger au rayon des croyances, ni plus ni moins.

Et comme tout le monde le sait, une croyance, ça n’existe pas.

Arrêtons de subir

L’échec n’existe donc pas.

Alors arrêtons de nous comparer, de nous dévaloriser, de dévaloriser les autres, de nous incliner devant les sentences sociétales, ou familiales, bien-pensantes, morales ou moralisantes.

Arrêtons de les subir, de faire du mal et de nous faire du mal pour rien en les reproduisant et perpétuant.

Apprenons à nous libérer de nos jugements (négatifs autant que positifs), et apprenons-le à nos enfants.